Védas en Rire

Du 1er au 3 juin, la Ville de Saint-Jean-de-Védas lance son festival d’humour « Védas en Rire » au Chai du Terral. Pour cette première édition, nous accueillerons Djamil le Shlag, Doully et Laura Calu.

Trois humoristes de génie à la répartie bien tranchante se produiront sur la scène du Chai. En effet, la Ville a souhaité réunir des artistes de talent pour marquer le coup lors de la première édition. Initié par François Rio, Maire, « Védas en Rire » se définit comme un rendez-vous fédérateur, ouvert à tous, qui apporte rires et bonne humeur.

Que ce soit avec Djamil le Shlag et ses punchlines hilarantes, Doully et son franc parler ou Laura Calu et sa vision décalée, la Ville vous réserve trois soirs de spectacles hilarants.

Les artistes :

• Djamil le Shlag, jeudi 1er juin à 20h30 : Fan de Mohamed Ali, Djamil considère la scène comme son ring de boxe. Ayant fait ses armes à France Inter et Radio Nova, Le Shlag part à la conquête du titre de plus gros punchliner dans son nouveau spectacle « 1er round ». Pour son premier round chez les pros, il n’a qu’un objectif : le KO. Ses armes ? Une énergie et un phrasé unique qui vous pousseront dans les cordes pendant 60 minutes.

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• Doully, vendredi 2 juin à 20h30 (SPECTACLE COMPLET) : Présentatrice punk de Groland, mais aussi chroniqueuse sur France Inter dans l’émission de Charline Vanhoenacker “C’est encore nous”… Doully est passée maître du stand-up en racontant notamment avec une aisance et une drôlerie bluffantes son passé d’ex-junkie aux mille et une vies, mais aussi sa sobriété… Elle sera présente au Chai pour vous présenter son dernier spectacle « Hier, j’arrête ! ».

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• Laura Calu, samedi 3 juin à 20h30 : Sortie du lot en créant une page Facebook intitulée «Qu’est-ce que tu fais Laura ?», Laura entre dans l’arène avec son nouveau spectacle « Senk ». Selon le pouce levé ou baissé par la plèbe, la mise à mort n’est jamais très loin. Laura entre dans l’arène pour se battre contre les incohérences de son époque, mais surtout contre ses propres contradictions. « Ouais enfin en attendant elle est bien contente d’y être dans l’arène. » Bah non. Si, en fait si.»

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